LA SCÈNE S'OUVRE sur M. Kincaid (
Derrick Pierce), un homme d'affaires à l'allure brutale, dans son bureau avec sa belle secrétaire, Valérie (
Brett Rossi), qui lui parle du programme de la journée. Au milieu de son briefing, elle se penche pour ramasser un stylo sur le sol et le remet sur le bureau de son patron avant de continuer.
À son insu, Kincaid jette sournoisement le stylo par terre. Lorsqu'elle revient, elle remarque le stylo sur le sol et est agacée, prenant une grande inspiration tout en serrant son bloc-notes. Elle se penche, la caméra offrant un point de vue masculin sur ses fesses sexy, puis réprimande son patron pour avoir laissé tomber le stylo ENCORE.
Il hausse les épaules et elle s'énerve, remarquant qu'elle en a marre de la façon dont il se pavane dans le bureau comme s'il en était le propriétaire ! En plus, il est très impoli, et elle déteste la façon dont il la traite et la fait se sentir petite et invalidée. C'est du harcèlement et elle ne va plus le tolérer. Elle est tellement énervée qu'elle commence à avoir chaud et à transpirer, alors elle prend une grande respiration pour se calmer.
M. Kincaid, qui la regarde, imperturbable, tout le temps, répond en disant à Valérie qu'il veut une tasse de café et qu'elle ne va pas se verser toute seule. Défaitiste, Valérie traverse le bureau pour faire une tasse de café, bien qu'elle soit clairement bouleversée, son corps tendu et ses mains serrées à ses côtés.
Elle jette un regard par-dessus son épaule à son patron, l'anxiété se lisant sur son visage. COUPE VERS LE PLATEAU DU TITRE
Plus tard, dans son bureau, Kincaid termine un appel d'affaires tandis que Valérie lui apporte une autre tasse de café. Une fois qu'il a terminé l'appel, il lui demande de lui dire ce qui est prévu ensuite dans son emploi du temps.
Alors qu'elle commence à lui dire son programme comme une bonne secrétaire, il sirote le café qu'elle vient de lui apporter et le recrache. 'C'est horrible!' il la gronde alors qu'elle regarde impuissante son comportement enfantin. L'enfantillage se transforme en intimidation lorsqu'il lui demande combien de temps elle travaille là -- une décennie? -- ce qui est assez généreux pour une secrétaire.
Il va lui expliquer comment tout cela fonctionne et qu'il ira lentement pour qu'elle comprenne. Valérie est dévastée, insistant calmement sur le fait qu'il ne peut pas la traiter ainsi. 'Chérie,' dit-il avec un sourire narquois, 'je peux faire ce que je veux, et te traiter comme je veux parce que JE suis le patron.
' Elle n'est qu'une blonde idiote, et rien de plus. Il commence à lui caresser la joue et elle l'accuse de harcèlement sexuel, bien qu'il insiste immédiatement et calmement sur le fait que ce n'est PAS du harcèlement sexuel. Même si c'était le cas, qui allait la croire, de toute façon, puisqu'elle n'est qu'une secrétaire ? C'est sa parole contre la sienne.
Il souligne qu'il est celui qui signe les chèques dans cette entreprise, donc il n'y a rien qu'elle puisse faire. 'En fait. ' Kincaid s'interrompt, renversant sa tasse de café sur la poitrine de Valérie. Valérie tente de nettoyer la tache de café sur sa chemise blanche, désemparée qu'il ait fait cela exprès tandis qu'il insiste avec suffisance sur le fait que c'était un accident et qu'il est un tel maladroit.
Il lui dit qu'elle ferait mieux d'enlever sa chemise et de s'occuper du désordre ou ça va tacher. Valérie insiste sur le fait qu'elle doit rentrer chez elle pour se changer, mais il l'arrête en disant : 'OU tu pourrais rester et rendre ton patron heureux. ' Si elle le laisse faire ce.